Native ou Primitive
Que dire de l’humain en tant que ‘personne’….rien!
Que dire de « l’Être », en tant qu’essence…..tout!
Ici la différence semble, mais elle n’est pas inscrite, donc….nulle!
Ici, il est question de profondeur, donc les attraits ne sont….rien!
Ici, seule la pertinence se ‘note’, entre-voir et percevoir, tout …s’annule!
Ici le regard souligne l’imperceptible en sa présence, c’est (ce) …Tout!
***
-Indigène-
Y« Indigène » 1,70/1,20 en m sur toile coton noire
d
-Arborigène-
Bien que l’un se pare de feuilles d’or et de tissus de satin
l’autre se vêt de feuille verte et de liane a effet de liens
Le trouble est permis…
L’un se pavane pour voiler l’ignorance qu’il a de lui-même alors
que l’autre reconnait la Nature qui l’a faite et n’a donc nullement besoin de se cacher.
…le doute ne l’est pas.
Y« Tatangjahal » 2.20/ 1.50 en m Toile coton noire
d
-Océane-
Petite Mère de lointains rivages, vestige de vieux mondes, engloutis.
Une relique, une réplique:
Qu’espères-tu retrouver dans le fond, que ton sillage en sa trace laisse et en sa surface trouble?
La question est pertinente, la réponse l’est tout autant!
Fille Reine des Océans, sirène de l’insondable,
Elle enfante ce que le monde tend à oublier.
Mémoire du ‘Vivant’, inscrite dans le tréfonds de ses eaux bleutées, salées
Qu’inondent ses yeux bleu-ciel, deux perles limpides, claires. Transparence.
L’onde d’une Âme sortie de ses os, en ces vagues déferlantes
donnant réponse et recouvrant joyeusement d’écumes blanches n’importe quel océan .
Y »Océane » 1.92/1.28 en m Toile noire coton
d
-Mattathia Mahéva Gaia-
Comme un nouveau-né, cette fragilité s’étend
Se dévoile, Sensibilité recouvrant sa peau,
De reflets d’ors et cuivrés. Soleil qui renvoie ses effets
De son berceau, rond d’ondes vers son humanité.
Elle est.
Vibration, en plein battement, son Expansion, en dévotion.
L’être y est. Le divin y est.
L’une, Mère-Veille, l’Autre, Merveille.
L’Absolu s’émerveille.
Y Mattathia Mahéva Gaia (2 m/2 mètres)
d
-Anasuhya-
Ici, il est question d’éclats!
Le silence est d’or, mais pour cette grande toile, c’est le sourire qui est d’or!
Et les rires d’Anasuhya …les éclats!
Rire de tout son rire, et percer tous les mystères, les non-dits…
Eclater de rire, comme éclater le silence et transpercer toutes les idées reçues…
Le modèle en cours, notre monde, manque terriblement,
Manque à bien des niveaux….cette « petite » ne peut qu’en rire,
Sa force…elle l’a et apporte au monde toute l’étendue d’une simplicité, urgente.
Y« Anasuhya » avec des éclats d’or. 2.80/1.70 en mètres
d
-Pau-de-Arara-
Le monde ‘avance’…paraît-il! Que des ‘sauvages’!
Des peuples ‘sauvages’ résistent, il paraît! Hommes de raison!
Que penser de l’intelligence et de la connaissance!
Ce sont deux mondes qui ne se touchent pas. Pas encore!
Se savoir empli de toute la richesse intérieure, aussi densément
Que cette forêt et faune tropicale,
Savoir que la Nature n’est pas chose que l’on peut se -couper-
Pour la bonne raison, Elle est notre puits Infini de connaissance
Re-co-naissance .
Vidéo en cours….
Y Pau -de-Arara 1.60/2.20 en mètres
d
Toile en cours…
Merci
Mary Lou. Copyright.
Tes regards sont toujours aussi expressifs et troublants Mary. J’adore tes peintures qui sont multiples et toujours saisissantes.
Chantal-Claire.
Coucou Chantal..
Merci tout plein de ta visite!
WOW ca fait un bail! Mais j’ai toujours bien une pensée pour toi.